31 août 2014
31 Août 1914
31 Août 1914 Nous comptions quitter Haraucourt aujourd’hui, mais on a, paraît-il, encore besoin de nous ici. Nous n’en sommes pas autrement fâchés, du reste, car nous pourrions être plus mal. Je puis m’étendre sur un matelas tous les soirs et la table...